Cet après-midi, je me sentais le cœur enfin léger. Tu parles…
Pas plus tôt envisagé ce mot vainqueur, j’aperçois un couple enlacé dans l’herbe, me rappelant le bonheur d’être simplement contre lui. Et me voilà suffocant de désespoir. C’est curieux le chagrin… Comme une lame de fond qui vous soulève, un retour de flamme dans un incendie de forêt.
Alors je ne fuis pas son énergie, je la respire à pleins poumons, la sens me traverser. J’attends qu’elle passe.
Jusqu’à la prochaine, qui prendra peut-être son temps pour me rendre visite.